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  • : Le blog de la santé globale et du tourisme Formation-Santé
  • : Nous négligeons notre «  Capital santé », en nous adonnant à la malbouffe, à la sédentarité mais aussi en ne respectant pas nos heures de repos ou en dépassant nos limites. La santé n’est pas un capital inépuisable ! Ce blog a pour objectif de vous sensibiliser à conserver votre santé par des moyens simples et naturels.
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Détour-Santé

11 décembre 2007 2 11 /12 /décembre /2007 16:40
C'est quatre hectares de jardins plantés de cèdres, de séquoias et de pins et de pièces d'eau



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11 décembre 2007 2 11 /12 /décembre /2007 15:53
Le mercredi, c'est jour de marché dans cette petite ville-jardin de mon enfance. On y retrouve bien sur les incontournables du Sud-Ouest : Foie gras, confit, charcutailles, et cette superbe paëlla mais ce qui est remarquable, c'est le nombre de produits d'origine biologique et de produits naturels de santé : Plantes. extraits de plantes, huiles essentieles. Luchon est vraiment un bastion du tourisme vert.





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11 décembre 2007 2 11 /12 /décembre /2007 15:40
C'est là que j'ai grandi


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2 décembre 2007 7 02 /12 /décembre /2007 19:22

Pic du Midi

Certains voient des éléphants roses, d'autres des soeurs volantes. Bien sur, il faut préalablement avoir bien arrosé un repas. Nous n’avions pas encore goûté la cuvé spéciale Pic du Midi et pourtant, dans le téléphérique qui nous montait au sommet, nous avons vu… des moutons bleus !?! Fort, très fort…

Si quelqu’un sait pourquoi on teint les moutons en bleu dans la région, faites moi le savoir et surtout, ne me dites pas que c’est pour ne pas les confondre avec les fraises des bois !
 
Bonne journée

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30 novembre 2007 5 30 /11 /novembre /2007 21:30

Vous pensez que les intestins ont un rôle purement digestif ? Faux ! Cet organe joue en fait un rôle déterminant dans le système immunitaire, puisqu’il abrite 50% de notre potentiel de défense. De plus, la microflore intestinale joue un rôle fondamental sur le fonctionnement des systèmes digestif et immunitaire.

100 000 milliards de bactéries de 400 d’espèces différentes squattent notre système digestif, la plupart situées dans le côlon. A la naissance, le tractus gastrique est stérile mais rapidement une microflore intestinale se développe et varie en fonction de facteurs tels que les conditions de la naissance, l’alimentation du bébé, l’utilisation éventuelle d’antibiotiques ou l'âge...

Flore intestinale & digestion

La fonction première du gros intestin est l’absorption de l’eau et des différents nutriments. La microflore joue un rôle spécifique dans la digestion, celui de fermenter les substances fournies par l’alimentation, comme les fibres alimentaires, qui ne peuvent être digérées par l'intestin grêle. Cette fermentation produit entre autre de l’acide lactique et des acides gras à chaîne courte. Ces derniers fournissant de l’énergie à la paroi du côlon, améliorent l'absorption de minéraux et influencent favorablement le métabolisme des lipides et des glucides dans le foie.

Flore intestinale & immunité

L’intestin agit de trois manières dans le système de défense. En premier lieu, il fait appel à la microflore résidente, qui protège des invasions bactériennes en générant un environnement hostile aux agents pathogènes. Deuxièmement, les cellules de la paroi intestinale ne se contentent pas d’absorber les nutriments, mais elles façonnent également une barrière de protection qui empêche la pénétration des substances nocives. Enfin, le système immunitaire des intestins est fait de cellules immunitaires spécialisées. Ces cellules peuvent réagir selon leurs propres défenses innées tout en déclenchant la production d’anticorps, protéines se liant spécifiquement à d’autres protéines appelées antigènes (l’agent pathogène invasif) pour le désactiver et l’expulser de l’organisme. Les bactéries hôtes de nos intestins communiquent avec les cellules du système immunitaire gastro-intestinal ainsi qu’avec le foie pour coordonner une réponse immunitaire aux antigènes alimentaires et aux micro-organismes pathogènes.

La microflore intestinale est essentielle au fonctionnement optimal des mécanismes de protection. Généralement, il est admis qu’un déséquilibre entre les bactéries amies et les bactéries pathogènes sont à l’origine d’un certain nombre de problématiques, comme le cancer du côlon, le syndrome du côlon irritable, l’inflammation de l’intestin, ou la gastro-entérite. Les changements de régime ou l’utilisation d’antibiotiques peuvent avoir un effet négatif sur l’équilibre de la microflore intestinale. Les bactéries bénéfiques telles que les lactobacilles et les bifidus perdant du terrain au profit de micro-organismes pathogènes, comme par exemple clostridium et entérocoques.

Les multinationales de l’agro-alimentaire ont élaborées plusieurs produits alimentaires visant à modifier la microflore intestinale. Ces produits contiennent : prébiotiques, probiotiques et symbiotiques (combinaison de prébiotiques et probiotiques). J’attend des  études cliniques impartiales pour me prononcer sur ces produis.

Prébiotiques et probiotiques et symbiotiques

Les probiotiques, sont des micro-organismes vivants que l’on retrouve principalement dans les produits laitiers fermentés comme yogourts, les laits fermentés, les végétaux (légumes et céréales) mais aussi le germe de blé et la levure de bière.

Les prébiotiques sont eux des composants alimentaires non digestibles qui appartiennent à la famille des fibres et qui stimulent la croissance ou l’activité d’un certain nombre de micro-organismes de la flore intestinale. On les retrouve dans certains aliments comme les oignons, les artichauts, les bananes, la chicorée et poireaux…

Lors d’une étude menée à double insu avec placebo auprès de patients de l’hôpital Maisonneuve-Rosemont, à Montréal, un probiotique de type Lactobacillus acidophilus aurait non seulement permis de réduire les diarrhées associées à la prise d’antibiotiques mais il aurait également démontré une « forte tendance » à neutraliser la bactérie Clostridium difficile. La fameuse C. difficile.

 

Références

1.        1. Fooks LJ, Gibson GR (2002) Probiotics as modulators of the gut flora. British Journal of Nutrition 88: S39-S49.

2.        2. Probiotics and Prebiotics (2001) American Journal of Clinical Nutrition 73(Suppl): 361S-498S.

3.        3. Steer T, Carpenter H, Tuohy K, Gibson GR, Steer TE (2000) Perspectives on the role of the human gut microbiota and its modulation by pro- and prebiotics. Nutrition Research Reviews (2000) 13: 229-254.

4.        4. Teitelbaum JE and Walker WA (2002) Nutritional impact of pre- and probiotics as protective gastrointestinal organisms. Annual Review of Nutrition. 22, 107-38.

Sites internet :

http://www.passeportsante.net/fr/Actualites/Nouvelles/Fiche.aspx?doc=2004082001

http://www.cfpc.ca/cfp/2005/Nov/vol51-nov-editorials-1_fr.asp

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30 novembre 2007 5 30 /11 /novembre /2007 15:12

Pic du Midi 
 pic.jpg
Une montée vertigineuse et un panorama à couper le souffle attend le visiteur du pic du Midi.

Si vous êtes amateur d’astronomie, ne manquez pas la pluie d'étoiles filantes des Perséides au mois d'août. En plus de bénéficier d’un environnement exempt de pollution lumineuse, vous profiterez du commentaire des professionnels passionnés de l’observatoire. Le tout après un repas gastronomique (confit de canard, vin de pays…). A voir au moins une fois dans sa vie.
 
Demain, les moutons bleus pyrénéens…

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28 novembre 2007 3 28 /11 /novembre /2007 02:54
Port de Venasque, 31110 Luchon
venasqueg.jpg

Cette photo représente la partie gauche du Port de Venasque que vous pouvez admirer dans le premier envoi de la série. A la fois barrière naturelle et frontière entre la France et l'Espagne, ce port cache les plus hauts sommets des Pyrénées. La montée demande une assez bonne forme physique, mais une fois en haut les efforts sont récompensés par un magnifique choc visuel sur le massif de Maladeta et le pic d'Aneto, point culminant des Pyrénées avec 3 404 m. 

A Suivre...
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27 novembre 2007 2 27 /11 /novembre /2007 17:48
stress-sm.gifCe mal sournois a pénétré notre société moderne par de nombreux accès. Il a envahit nos sphère professionnelle, familiale et personnelle. Il parasite violement les rapports humains et plus encore il précarise l'état de santé de la population.
 
Le stress, personne ne peut y échapper. C’est une réaction normale de l’organisme en réponse à une situation de crise. De plus, il est indispensable dans notre quotidien pour répondre aux agressions auxquelles nous sommes exposés (maladie, pression sociale, deuil, pollution…). Par contre, trop de stress pose problème car l’organisme dépense ses réserves en nutriments, pour se réguler. A long terme, l’exposition au stress entraîne l’épuisement des réserves en nutriments et de l’effondrement su système immunitaire.
En période de stress intense, d’anxiété ou de fatigue, nous avons tous tendance à grignoter des aliments gras et/ou sucrés. Des aliments vides des nutriments nécessaire à notre organisme mais pleins de calories.

Durant ces situations de crise, nous devons :

- privilégier les aliments à forte densité nutritionnelle, comme fruits et légumes, céréales, légumineuses, poissons gras et viandes maigres, huiles riches en oméga 3,

- nous supplémenter en vitamines A, B1, C & E, et en magnésium,

- pratiquer régulièrement une activité sportive modérée,

- bannir les excitants et les tranquillisants: café, alcools, tabac, tranquillisants médicamenteux. De faux amis qui accélèrent l’épuisement de l’organisme et son incapacité à réagir.

- adopter une philosophie du stress.

Depuis de nombreuses années les thérapeutes élaborent des méthodes toutes plus efficaces les unes que les autres, dans le but de diminuer les effets du stress sur l'humain : Thérapies courtes – Relaxation – Exercices – Respiration – Alimentation – Voyages-Santé…

Grâce à la compréhension des mécanismes du stress et de leur impact psychosociologique il nous est désormais possible d'espérer voir diminuer à terme certaines maladies d’ordre psychosomatiques : L’asthme – Le psoriasis – La sciatique !
 
Espérons aussi que cette prise de conscience permettra, un jour, de voir s'établir des nouvelles structures sociales qui permettront à l'humain de développer davantage un potentiel encore inexploité, sans le confronter au stress excessif.
 
Si ce sujet vous intéresse, je vous propose de lire le dossier : LE STRESS : Ami ou ennemi ?
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27 novembre 2007 2 27 /11 /novembre /2007 06:00
Jour de Marché à Luchon
gastronomie24.jpg

Le mercredi, c'est jour de marché dans cette petite ville-jardin de mon enfance. On y retrouve bien sur les incontournables du Sud-Ouest : Foie gras, confit, charcutailles, et cette superbe paëlla mais ce qui est remarquable, c'est le nombre de produits d'origine biologique et de produits naturels de santé : Plantes. extraits de plantes, huiles essentieles. Luchon est vraiment un bastion du tourisme vert. 

A suivre...
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26 novembre 2007 1 26 /11 /novembre /2007 23:19

fruits.jpgRégime, diète, jeûne... Nombreux sont ceux qui font tout et n'importe quoi pour maigrir. Seulement voilà, une fois le programme terminé les kilos perdus sont vites retrouvé.

Je vous livre un texte écrit par le Dr. Jean-Claude Rodet concernant l'individualisation de l'alimentation. Si vous avez des questions...

L'individualisation alimentaire Les progrès de la biochimie alimentaire, les recherches sur les propriétés thérapeutiques ou curatives des aliments permettent aujourd'hui de comprendre la nécessité d'appliquer l'individualisation alimentaire.

Nous sommes tous différents. Chaque personne est unique.

 

De très nombreux paramètres démontrent les différences qui existent d'une personne à une autre.

 

þ      le groupe sanguin (peut-on recommander sans inconvénient la même alimentation aux groupes 0, A, B, AB ?)

 

þ      le type ostéomusculaire (l'importance et la force du squelette, des tendons et des muscles peut faire varier les besoins alimentaires et surtout minéraux)

 

þ      le type morphologique (la silhouette dénote une structure physique avec des besoins spécifiques)

 

þ      le tempérament (un individu nerveux, sanguin ou bilieux nécessite des nutriments adaptés à son tempérament)

 

þ      l'activité physique (une activité physique ou sportive importante ou au contraire une passivité et une forte sédentarité doivent moduler le type d'alimentation à choisir)

 

þ      l'activité professionnelle (le travail musculaire et le travail intellectuel ne demandent pas la même alimentation)

 

þ      l'âge (les périodes de croissance, de grossesse, de ménopause, le 3ème âge… nécessitent chacune une alimentation adaptée et bien choisie)

 

þ      la situation climatique (l'humidité ou l'ensoleillement suggèrent des aliments différents qui respectent le facteur environnemental)

 

þ      les saisons (les 4 saisons de l'année font recommander des aliments dont l'énergie vibratoire est en harmonie avec la période de l'année)

 

þ      les conflits personnels et le stress (vécus dans le milieu familial ou professionnel peuvent être une cause de pathologie et nécessiter une alimentation spécifique)

 

þ      le sexe (les métabolismes masculin et féminin sont différents ; pour l'homme et la femme il faut sans doute prévoir une alimentation personnalisée) 

 

Quelques exemples aberrants

 

þ      Donner des aliments réchauffants, excitants à un individu " sanguin ".

 

þ      Offrir des aliments refroidissants, rafraîchissants à une personne frileuse.

 

þ      Manger régulièrement des légumineuses et viandes en sauce en plein été.

 

þ      Effectuer une monodiète de fruits acides en plein hiver.

 

þ      Consommer des fromages gras et fermentés en saison chaude.

 

þ      Consommer abondamment des yogourts au lait écrémé en hiver ou période pluvieuse.

 

þ      Offrir des rations importantes de viande rouge à un sujet congestif.

 

þ      Proposer un régime végétalien cru strict à un frileux maigre.

 

þ      Recommander une diète fruitarienne prolongée à un nerveux.

 

þ      Offrir la même assiette à un adolescent, une femme enceinte, une personne ménopausée, un vieillard, un convalescent…

 

þ      Proposer la même diète à une secrétaire (sédentaire et peu mobile), un maçon ou un plâtrier (très actif), un travailleur à horaire mobile nocturne (horloge biologique perturbée).

 

Ces exemples montrent que l'individualisation alimentaire est une clé importante de l'équilibre alimentaire.

 

L'assiette d'un travailleur manuel dont la dépense physique ou musculaire est importante exige une proportion élevée d'hydrates de carbone et de protéines.

 

L'assiette d'un employé de bureau plutôt immobile et sédentaire nécessite une quantité élevée de fibres apportées par les légumes.

 

L'assiette d'un enseignant ou d'un éducateur doit recevoir une alimentation suffisamment riche en phosphore pour satisfaire les besoins intellectuels et les exigences du système nerveux.

 

On ne peut pas calquer l'assiette de l'homme moderne devenu sédentaire grâce à la mécanisation et à l'automatisation sur l'assiette de l'homme ancestral dont toute la vie et l'activité était basée sur le mouvement et les efforts physiques et musculaires.

 

Le nutrithérapeute moderne doit prendre en compte les besoins du monde actuel en proposant :

 

þ      une alimentation biologique (culture sans pesticide)

 

þ      une alimentation vivante (la plus possible crue)

 

þ      une alimentation diversifiée (la monotonie alimentaire crée des carences, la diversité alimentaire apporte l'équilibre).

 

Texte du Dr. Jean-Claude Rodet

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